Présentation
Rituel enchanté, Viva Cité revient de plus belle, intensément, éperdument et nous invite dès le vendredi à entrer dans la fête ! Cette soirée retrouve tout son sens, elle ouvre le festival et nous plonge dans l’ambiance créative si particulière à Viva Cité, avec mille complices de cette folie douce ! Confié à La Zankà Cie, le Coup d’envoi lance les festivités vendredi à 18h30 : 150 participants et leurs totems à roulettes composent La Ride Divine, procession roulante carnavalesque d’un km à trottinette, roller, vélo, skate… voire brouette. Puis les élèves de l’option Théâtre-Arts de la rue des Lycées Marcel Sembat et Les Bruyères convient le public à l’Atelier 231 pour leur création accompagnée par le Groupe ToNNe. Dans le bois de la Garenne, une éclosion florale s’entremêle à la canopée des arbres de l’allée centrale, bouquet final à la scénographie végétale conçue sur trois ans par Fabrice Deperrois et les Plastiqueurs avec les étudiant.e.s de l’école d’architecture et les mains créatives des ateliers. Le Groupe ToNNe clôture sa résidence-association de deux ans en présentant Texaco, spectacle de grand format mené par un camion-scène qui nous invite à « parader et gueuler et brûler ensemble. Devenir Carnaval. ». En tournée en France, les artistes burkinabè du Cirque Yennega sont invités à Sotteville avec le Cirque du bonbon dans deux écoles, puis Jonglemania. En fin de journées, l’émission en direct et en public La Grande Tablée d’O.p.U.S. donne voix à des « spécialistes de rien du tout » aidant les spectateurs à apprécier les créations découvertes sur le festival. En soirées, Titanos embrase la nuit sottevillaise avec FUUU et nous engage dans une combustion foraine autour de ses machines de feux, aux sons d’un concert live non moins enflammé ! Pour sa 36ème édition, Viva Cité se déguste à la sauce aigre-douce, sucrée et salée, soyeuse et piquante, acide et suave… jusqu’à la Cité chanson du Trianon et sur le dancefloor de l’Atelier 231 ! Merci à tous les artistes qui nous enivrent, nous chahutent et nous touchent par leurs récits. Bon festival !